fantome

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fantomeposté le 30/11/2007 à 08:02

posté par : Désinscrit (invité)
Ce qui suit est une histoire assez étonnante, voire même impressionnante puisqu'une preuve photographique est apportée.Le_fant_me_d_Ipswich.jpg A priori, cette photo n'a rien d'extraordinaire, on y voir un homme au volant et derrière lui, une dame âgée. Mais voici l'histoire de cette photo qui en intrigua plus d'un.

L'homme sur cette photo est le mari de Mme Mabel Chinnery, il s'agit d'un couple vivant à Ipswich. Elle a été prise par Mme Chinnery elle-même. Le couple revenait alors du cimetière de la ville où était enterrée la mère de cette dernière. C'était en 1959. Le fait marquant est que Mr Chinnery était alors seul dans la voiture, et le visage de cette femme derrière lui fut reconnut par Mme Chinnery comme étant celui de sa propre mère, qui était pourtant bel et bien décédée, et un an auparavant de surcroit! La photo fut publiée dans un journal, le Sunday Pictorial, et il fut avéré qu'il ne s'agissait pas d'un trucage. En effet, elle fut prise en 1959, et les programme de modification de photos n'existaient pas encore! un chercheur en parapsychologie a dit « Il semble qu'il n'y ait pas d'explication naturelle de cette remarquable photographie. »

Que pensez-vous de cette photo et de son histoire?

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 15:00

posté par : avatarcarocool (15)
J'ai déjà entendu cette histoire et c'est trop incroyable comme photo!

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 15:59

posté par : avatarLae (6)
j'ai peur!!!!
lol

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 16:19

posté par : avatarshamamoderateur (47)
oui, je l'avais déjà lue sur le site où tu as fait le copier-coller. je pense que c'est tout à fait possible, j'ai déjà vu des photos de ce genre, prises par une personne qui n'a rien d'un affabulateur ni d'un menteur.

grrrposté le 30/11/2007 à 16:44

posté par : Désinscrit (invité)
comment tu sais que jai fais copie-coller

Les visages de belmezposté le 30/11/2007 à 16:48

posté par : Désinscrit (invité)
Un phénomène extraordinaire s'est produit le 23 août 1971 dans le village de Bélmez, en Espagne. En effet, dans une maison ordinaire de ce vilage, dont la propriétaire se nomme Maria Pereira, est apparu ce jour-là un visage humain sur le sol de la cuisine.Plancher_cuisine.jpg Intriguant, n'est-il pas? Encore plus étonnant: les habitants détruisirent le plancher en question et en ont refait un nouveau. Mais, le 8 septembre de cette même année 1971, un nouveau visage apparut au même endroit. Celui-ci fut découpé et conservé.

Suite à cette seconde trouvaille aussi impressionnante que la première, des fouilles furent faites afin de savoir ce qui se trouvait sous la maison. Il s'avéra qu'elle fut construite sur un cimetière datant du 13ème siècle dont les dépouilles éaient des personnes qui furent massacrées. la preuve en est deux des corps exhumés qui furent trouvés décapités. Après avoir inhumés ces dépouilles dans un cimetièr catholique, non enterré celui-ci, la maison fut reconstruite à l'endroit où elle fut partiellement détruite pour permettre les fouilles.

Les gens du village pensaient que l'inhumation des corps dans un cimetière catholique ferait stopper les apparitions de ces mystérieux visages. mais ce ne fut point le cas! En effet, tout était loin d'être terminé. Des visages continurent d'apparaître, cette fois-ci à plusieurs endroits de la cuisine, sur les murs en plus du sol et dans d'autres pièces. A certains endroits, il arrivait même que des corps entiers apparaissent.visages.jpg Ce phénomène attira nombre de visiteurs qui vinrent voir par eux-mêmes ces fameux visages et ces corps. Certains d'entre eux témoignèrent avoir vu des visages se dessiner devant leurs yeux, sortant de nulle part.

Les expressions des visages changeaient, parfois dans la même journée, et il s'est avéré que c'était l'état psychologique de Maria Pereira qui faisait changer leurs expressions. En effet, lorsque celle-ci était triste, les visages étaient tristes et lorsqu'elle était heureuse, les visages souriaient. Lorsqu'un prélèvement était effectué pour étudier l'un de ces visages, il réaparaissait automatiquement à un autre endroit de la maison. Du détergent fut utilisé afin d'effacer tous ces dessins mais rien n'y faisait, ils réaparaissaient toujours.

Il y eut des tests de radioacitivité, de rayons-x, de détection de matières organiques furent effectués. On a pris des photographies à l'ultra-violet et à l'infra-rouge. Aucun de ces tests ne put prouver une quelconque supercherie. Le fils de la famille Pereira était un artiste peintre, mais il fut prouvé par les enqueteurs qu'il ne pouvait être l'auteur de ces "peintures". Des rénovations majeures dans le cimetière et dans l'église adjacente, qui avaient même dû inclure l'exhumation et la relocalisation de certaines tombes, ont étrangement coïncidé avec l'apparition des touts premiers visages.

visage6.jpg Au jour d'aujourd'hui, les visages continuent d'affluer sur les murs et les sols de cette maison de Bélmez, ce qui continue d'attirer les visiteurs. Que pensez-vous de ce phénomène si étrange?

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 16:48

posté par : Désinscrit (invité)
en voici un exemple

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 16:49

posté par : Désinscrit (invité)
un deuxieme

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 16:49

posté par : Désinscrit (invité)
un troisieme

re : fantomeposté le 30/11/2007 à 16:58

posté par : avatarluckydes (18)
4ieme?lool

bien , il y a des histoires bizzard sur terre , une des rare chose que l'etre humain ne cest pas controlé

Le kilometre 239posté le 30/11/2007 à 17:16

posté par : Désinscrit (invité)
Une nouvelle autoroute vit le jour entre Brême et Bremerhaven, son avant-port, à la fin de l'été 1929. En une seule année, plus de 100 victimes furent déplorés sur cette autoroute, tous au kilomètre 239, alors qu'il s'agissait d'une ligne droite.

Les quelques survivants de ces accidents furent interrogés par la police, qui rapporta quechacun d'entre eux eut un fort moment d'excitation au moment d'arriver au kilomètre 239. Lorsque leur voiture atteigna la borne, elle dévia sur le bas-côté. Même constat pour tous les survivants.

C'est le 7 décembre 1930 qu'il y eut le plus d'accidents, on en recensa 9 dans la même journée, sur la même autoroute, à la même borne. Un homme nommée Car Wehrs eut une hypothèse pour expliquer ce qui pouvait se passer à cet endroit: un puissant champ magnétique engendré par un courant souterrain qui aurait pour résultat de faire dévier tout ce qui passe à la hauteur du kilomètre 239. Evidmment, plus on y passe à grande vitesse, plus la déviance est puissante et plus le risque de décès de la part du conducteur et/ou des passagers est grand.

Il testa son hypothèse en se rendant à pied, une barre d'acier dans les mains, en direction du kilomètre 239. Arrivé à 4 mètres de la borne, la baguette s'envola de ses mains et attérit sur le bas côté de la route pendant que Wehrs fit demi-tour sur lui-même, sans l'avoir voulu comme il le rapportera plus tard dans un témoignage.

Il enterra un coffre rempli de morceaux de cuivre à la base de la borne. Il y resta une semaine pendant laquelle il n'y eut aucun accident. Lorsqu'il fut déterré, les trois premières voitures qui passèrent à hauteur du kilomètre 239 furent accidentées. Le coffre fut alors remis en place et il n'y eut plus aucun accident depuis. Néanmoins, on ignore aujourd'hui s'il y est toujours.

La Combustion spontanee humaineposté le 30/11/2007 à 17:19

posté par : Désinscrit (invité)
combustion2.jpgQu'est-ce que la combustion spontanée?

Il s'agit d'un phénomène étrange qu'aucun scientifique n'a pu expliquer jusqu'à aujourd'hui. Pour en faire une définition simple, nous pouvons dire que la combustion spontanée est un corps qui se met à brûler, sans raison extérieure apparente. Cet évènement assez étrange n'est pas très commun néanmoins, les quelques cas qui ont été remarqués n'ont jamais pu être élucidés.

Certains scientifiques parlent d'une substance chimique, qui se formerait dans l'estomac de la victime et qui donnerait comme résultat un feu intérieur. Dans les cas observés, on peut voir que les éléments entourant les victimes n'ont pas été brûlés, seuls les corps le sont. Il peut arriver qu'il n'en reste que des cendres ou alors que des os voire même des membres de leur corps restent entiers.

L'inspecteur de police à la retraite John Heymer est l'un des enquêteurs le plus sérieux sur les phénomènes de combustion vive. Il est arrivé a la conclusion que la chaleur intense provoquant la combustion spontanée provient d'une flamme alimentée par du gaz et surgissant de l'intérieur du corps. C'est, selon lui, l'unique explication plausible qui rende compte des températures élevées atteintes dans certaines zones du corps. Certains des indices qui l'ont amené à cette conclusion lui ont été apportés par une affaire survenue le 19 septembre 1967. Ce jour la, un pompier atteignit le lieu de l'accident a temps pour voir une flamme bleue qui sortait encore d'une blessure dans l'abdomen de la victime. On peut supposer que l'homme était bien vivant lorsqu'il a commencé a brûler car il avait mordu fortement le montant de bois de la cage d'escalier ou il était tombé. Bien que cette théorie soit plausible, on ignore encore quelles sont les causes de ce phénomène. (extrait pris sur le site http://secretebase.free.fr/etrange/combustion/combustion.htm )

Le premier cas recensé de combustion spontané remonte à il y a plusieurs siècles. La victime était la comtesse Cornelia Bandi. Elle avait 62 ans et a été découverte par ses domestiques le lendemain matin, dans sa chambre. Seules ses jambes et une partie de son crâne sont restés entiers. La seconde victime, une femme du nom de Mlle Thaus, a été découverte à Caen le 3 juin 1782. Tous ses os ont disparus, seul a résisté à la combustion son pied droit. La veille, elle aurait bu plusieurs litres de vin et du cognac. Peut-être cela pourrait-il expliquer sa disparition de cette manière.

Le cas le plus connu de combustion spontanée reste la victime d'Uruffe.combustion.jpg C'est dans ce bourg proche de Toul, en Lorraine, que fut découverte Ginette Kazmierczak, le 12 mai 1977. C'est sa voisine de pallier qui fut alertée par de la fumée dans sa chambre pendant la nuit. Les jambes et le bras droit de la victime sont restés intacts tandis que la tête, le tronc et l'abdomen ont littéralement disparus pour faire place à la cendre. Il aurait fallu une température égale à 2000°C pour en arriver à un tel résultat. Une enquête fut ouverte par le Parquet de Nancy mais, le 18 janvier 1978, ils durent se rendre compte qu'il s'agissait bien là d'un cas de combustion spontanée et un non-lieu fut déclaré.

Plusieurs autres cas furent décelés: celui de Mary Reeser à St Petersburg (Floride), celui de Jack Stacey à Londres (Angleterre) ou encore celui de Patrick Rooney, asphyxié par la fumée qui se dégagea du corps de sa femme...

comb3.jpg Quelle est votre théorie au sujet des combustions spontanées? Quelle explication donneriez-vous?

re : fantomeposté le 01/12/2007 à 09:35

posté par : avatarLae (6)
2000° C!!!

Amityville la maison du diableposté le 01/12/2007 à 10:22

posté par : Désinscrit (invité)


"La maison du diable" comme on l'appellera plus tard, est construite en 1928. De style colonial à trois étages, elle située 112 Ocean Avenue, dans les quartiers aisés d'Amityville (Long Island), non loin de New York.

Amityville - La maison du diable

La famille DeFoe

Avant la nuit tragique où c'est terminé leurs vies, les DeFeos étaient des gens normaux qui aimaient la vie. Les membres de la famille DeFeo étaient Ronald Sr., Louise, Ronald Jr., Poignez, Allison, Mark et John Matthew. Ronald DeFeo Jr., le seul survivant, a été accusé de six condamnations à perpétuité dans la Prison de Greenhaven. Ils habitaient au 112 Océan Ave. (Actuellement, le nom de la rue et l'adresse ont été changé). Les DeFeos vivaient dans un appartement dans Brooklyn, proche d'où M. DeFeo travaillait. Ils étaient enchantés de leur nouvelle vie depuis qu'ils avaient déménagé à Amityville, surtout pour la maison, car ils avaient maintenant 2 1/2 étages de plus qu'un sous-sol fini. Comme un emblème de leur nouvelle vie, un signe a été ajouté au jardin devant la maison où il est inscris, "HAUTS ESPOIRS" (traduction mot à mot).
Amityville - La maison du diable

Ronald DeFeo Sr., fils de Rocco DeFeo, est directeur général de La Brigante-Karl Buick Concession sur l'île Coney, Brooklyn. Il aime beaucoup ses enfants et les a élevé avec conseils et amour. D'après Ronald Jr., M. DeFeo frappait encore Ronald Jr. même s'il était un adulte. Un incident est survenu le jour avant les meurtres : Ronald Sr. et Ronald Jr. ont été vu dans l'embouchure du sous-sol. Ronald Jr. est parti avec une lèvre sanglante. D'après Ronald DeFeo Jr. et une autre famille, Ronald DeFeo Sr. a eut des rapports avec certains amis et parents aux dossiers criminels. En général, Ronald DeFeo Sr. était un bon homme qui aimait sa famille et sa vie. Le jour de son meurtre, M. DeFeo devait aller au travail et porter son fils, Mark, qui avait une blessure de football chez le docteur.
Amityville - La maison du diable

Louise DeFeo est la fille de Michael Brigante. Il n'y a pas beaucoup d'informations au sujet de Mme Defeo dans les livres. Ronald DeFeo Jr. a accusé sa mère d'être infidèle à M. DeFeo, mais cette affirmation n'aurait pas de fondement réellement connu.

Amityville - La maison du diable

D'après ses amis, Allison DeFeo était une fille tranquille. Chaque fois que Ronald DeFeo Jr. élevait la voix dans la maison, elle fermait sa porte de chambre pour bloquer le son des discussions que Ronald Sr. et Ronald Jr. avaient. Elle passait son été dans la piscine avec ses amis. Elle était âgée de 13 ans lors de son assassinat.
Amityville - La maison du diable

John DeFeo avait sept ans lors de son décès. Il a été décrit comme un petit garçon gentil par les amis d'Allison. Le jour avant les meurtres, John DeFeo et son ami se sont assis sur le pas de son sous-sol et ont regardé secrètement Ronald Sr. et Ronald Jr. se disputer. Ronald Jr. est parti avec une lèvre sanglante.
Amityville - La maison du diable

Il n'y a pas beaucoup d'informations au sujet de Mark DeFeo, à part que le jour de son meurtre, M. DeFeo était supposé emmener Mark chez le docteur pour une blessure au football. Pendant sa saison de football, Mark DeFeo avait eu une blessure sérieuse et lui a exigée l'usage temporaire de béquilles et une chaise roulante. Il mourut à l'âge de 12 ans.
Amityville - La maison du diable

Dawn DeFeo a 18 ans lors de son meurtre. D'après Ronald DeFeo Jr., il y avait plusieurs discussions au sujet de la musique qu'elle écoutait. Il paraît que son frère n'aimait pas les musiciens noirs populaires à ce moment-là. D'après Ronald DeFeo Jr., sa soeur l'a aidé à rester sur probation en lui donnant un échantillon de son urine, ce qui a permis à Ronald DeFeo Jr. de réussir ses tests anti-drogues. Dans ce temps-là, Ronald Jr. était un utilisateur occasionnel d'héroïne.

Amityville - La maison du diable

Shaggy était le chien de berger de la famille. Ronald DeFeo Jr. le détestait passionnément et avait comploté plusieurs fois pour le tuer. La seule raison pourquoi il ne l'avait toujours pas fait est parce que son père l'avait prévenu que peu importe ce qui arrivait au chien, cela passerait sur son dos. Pendant les meurtres, Shaggy n'a pas arrêté de japper. Quelques jours après les meurtres, Shaggy a été adopté par un ami de la famille.

Le massacre de la famille Defeo

Mercredi 13 Novembre 1974 vers 3 h du matin, Ronald DeFeo Junior finit d'écouter un film appelé Castle Keep. Il prend son fusil 35 mm et assassine son père, sa mère, ses deux frères et deux soeurs pendant qu'ils dorment dans leurs lits. Certains sont tués dans leur sommeil, d'autres auront le temps de se réveiller avant leur assassinat :

• Ronald Senior reçoit 2 balles dans le dos. Entrées par le cou, elles traversent ses reins et sa colonne vertébrale. Le coroner indique que la victime a essayé de se déplacer vers le haut avant de mourir. Il a été vivant de quelques secondes à quelques minutes avant de succomber à ses blessures.

• Louise reçoit elle aussi 2 balles : une entre et sort par son poignet gauche. La 2ème détruit son poumon, son diaphragme, sa cage thoracique et son foie. Elle se dirige vers la porte et meurt 10 minutes après la fusillade.

• Mark et John reçoivent des tirs à bout portant (moins de 2 pouces). Les balles pénètrent le coeur, les poumons, le diaphragme et le foie de chaque victime. La moelle épinière de John est touchée sévèrement.
Amityville - La maison du diable

• Allison est réveillée et a le temps de voir la muselière du pistolet avant qu'il reçoivent la balle en plein tête. La balle est sortie, a frappé le mur et a rebondi par terre.

• Dawn à reçu une balle à bout portant également (moins de 3 pouces) dans le bas de son cou. La balle est sortie par l'oreille gauche.

Arrestation et enquête policière

La police croit que les voisins n'ont rien entendu car la maison agissait comme un château fort et aurait assourdi le son. De plus, le chien DeFeo aboyait bruyamment pendant tout le temps des meurtres.
Amityville - La maison du diable

Amityville - La maison du diable

Les DeFeos croyaient très probablement que Ronald DeFeo Jr regardait encore Castle Keep, une émission particulièrement violente et remplie de tirs bruyants. DeFeo Jr. écoutait la télévision très fort, ce qui pourrait expliquer pourquoi les enfants ne se sont pas réveillés. M. et Mme DeFeo ont été les premiers à être assassinés et les enfants n'avaient aucune raison d'être alarmés parce qu'ils dormaient dans leur maison, dans leurs lits. Les autopsies ont révélé que les DeFeos n'ont pas été drogués au dîner et il a été prouvé que Mme DeFeo et Allison se sont réveillées. Ronald DeFeo Jr. déclarera durant son interrogatoire que Dawn s'était réveillée et lui a demandé quel était le problème. Il lui a dit de se recoucher, se qu'elle a fait, et c'est alors qu'il l'a abattue. Il est dur de dire si ce qu'il raconte est vrai car il a créé beaucoup de versions différentes des meurtres pendant l'interrogatoire de la police.

A la demande de l'avocat de la défense, William Weber, une enquête a lieu dans la maison afin d'y trouver une quelconque puissance capable d'avoir influencé le meurtrier. Sans doute renseigné par des spécialistes en parapsychologie, il soupçonne l'existence de champs électromagnétiques dus à des vices de forme ou à des forces telluriques avoisinantes susceptibles de saturer l'environnement en ondes nuisibles à l'équilibre des cellules et à la santé mentale de son client. Cette thèse du champ parapsychologique est avancée par un certain Hans Holzer pour justifier pourquoi aucun des membres de la famille DeFeo n'a été alerté par les coups de feu. Il inhibe les sons et affecte la perception du bruit. Mais de là à entendre des voix d'outre-tombe…

L'affaire est classée par les scientifiques qui refusent d'y voir autre chose qu'une folie meurtrière. Mais la maison étant « tâchée de sang », elle reste inoccupée pendant plusieurs mois malgré son prix attractif : « Quartier résidentiel d'Amityville. Villa style colonial hollandais, 6 chambres à coucher, 1 grand salon, 1 grande salle à manger, une véranda fermée, 3 ½ salles de bains, sous-sol fini, garage 2 voitures, piscine chauffée, et grand hangar à bateaux. Prix demandé : 80.000 dollars ».

Les nouveaux habitants de la maison du diable
Amityville - La maison du diable
Les lutz en 1975-1976

Était elle vraiment hantée ? C'est ce que se demandent encore les gens. Bien que les propriétaires suivants n'aient pas été gênés par des incidents inhabituels, les Lutz, eux, déménageront au bout de 28 jours, chassés par des "événements surnaturels", sous forme d'activité poltergeist et d'apparitions démoniaques. S'agissait-il réellement d'une histoire vraie ? Certains affirment aujourd'hui que toute l'affaire n'était qu'un canular, une escroquerie perpétrée par les Lutz pour gagner de l'argent. Ceux qui croient à l'histoire disent au contraire que la thèse du canular n'a été élaborée que dans le but de décourager les hordes de curieux qui, après la sortie du livre (1977) et du film (1979), sont venus en masse à Amityville pour jeter un coup d'œil sur l'attraction locale : la désormais célèbre "maison du diable".

En dépit de la controverse, c'est une histoire effectivement terrible qui est à l'origine des affirmations selon lesquelles la maison d'Océan Avenue serait hantée. N'ayant pas réussi à convaincre les jurés qu'il avait obéi à l'injonction de voix lui intimant l'ordre de tuer, DeFeo est déclaré responsable de ses actes; inculpé d'homicide sous 6 chefs d'accusation, il est condamné à 25 ans de prison pour chacun d'entre eux. Après cet épisode sanglant, la grande maison d'Océan Avenue est mise en vente à un prix dérisoire. George Lutz, propriétaire d'une compagnie de géomètres qui bat de l'aile, visite la propriété avec sa femme Kathy. Malgré le passé macabre de la grande demeure, ils croient avoir trouvé la maison de leurs rêves et s'en portent acquéreurs.
Amityville - La maison du diable
Les Lutz 20 ans plus tard.

Les Lutz emménagent avec leurs 3 enfants le 18 Décembre 1975. Une de leurs premières actions est de demander à un prêtre de venir bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre dit entendre une voix, forte, semblant venir de nulle part, lui disant simplement : Allez-vous en ! Rapportés par les Lutz eux-mêmes dans une interview qu'ils ont accordée à la télévision History Channel dans le cadre de deux reportages consacrés à la légende d'Amityville (3), les phénomènes envahissent peu à peu leur quotidien.

Ils constatent d'énormes variations de température, la présence de l'odeur écœurante d'un vieux parfum, la formation de tâches noires sur les sanitaires et l'apparition de nuées de mouches malgré la saison hivernale.

George Lutz est tiré de son sommeil chaque nuit vers 3h15. Cauchemar ou réminiscence du massacre des DeFeo qui eut lieu à cette heure ?

Enfin, Mélissa, la cadette, évoque à plusieurs reprises de la présence d'une « amie » du nom de Jodie qui se manifeste à elle en lui assurant qu'elle « resterait toujours dans la maison ». Imagination infantile ou expression du démon ?

Le temps fort de ces manifestations reste la découverte dans la cave d'un réduit qui ne figure sur aucun plan. Même le labrador noir Harry refuse d'approcher cette pièce malodorante aux murs peints en rouge…


Un lion de céramique de plus de 1 m de haut se met à bouger tout seul. On trouve des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces mènent tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, une force au-delà de celle d'un être humain. Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la maison de leurs rêves était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.

Kathy Lutz est la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantent la maison. Des bras invisibles l'enlacent; des êtres tentent de la posséder. Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant.

A la même période, George Lutz vit à son tour des événements étranges. Il entend une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son d'instruments à vent. Il ne voit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée. Par-dessus le marché, les Lutz affirment avoir eut plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestent sous des formes très variées : immense silhouette encapuchonnée de blanc, démon cornu ou encore cochon diabolique avec deux yeux ardents.


Trop c'est trop

Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, a lieu une nuit de début Janvier 1976. Cette nuit-là, George n'arrive pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévite dans les airs ! Plus horrible encore : lorsqu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prend un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.

C'en est trop pour les Lutz. Ils quittent la maison le 14 Janvier 1976. Mais, selon John G. Jones, le Diable, resté lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.

L'histoire d'Amityville allait être la source d'inspiration de nombreux auteurs de livres d'horreur dans les années 1980s. La plupart se réclament de la pure fiction, mais quelques-uns prétendent raconter la «'vraie» histoire, Toutefois, dans leur grande majorité, les spécialistes du paranormal affirment qu'il n'y a jamais eu d'histoire «vraie». Selon eux. L'affaire des Lutz serait une pure fiction d'un bout à l'autre.



Manipulation

Bien qu'on ne mette pas en doute la sincérité des Lutz, leur première relation des événements était beaucoup moins impressionnante : ils y parlaient de sentiments et de sensations plus que de phénomènes physiques. De plus, on s'aperçut plus tard que l'avocat de Ronald DeFeo, William Weber, avait basé sa défense en appel sur c'est la faute au diable pour faire acquitter son client. Weber reconnut même qu'il avait aidé les Lutz à faire de leur histoire une histoire à sensation, pour prouver que n'importe qui vivant dans la maison d'Amityville pouvait subir l'influence de forces surnaturelles.

Malgré les preuves écrasantes en faveur d'une supercherie, Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; ils furent remplis d'un sentiment d'horreur absolue en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des milliers de points lumineux, ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.

Pour les Warren, le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. D'après leurs investigations, le terrain sur lequel est bâtie la maison fut autrefois un site de détention utilisé par les indiens Montauketts, premiers colons de la région, pour parquer leurs malades mentaux, la maladie mentale étant attribuée à l'action du démon. Plus tard, un sorcier de Salem du nom de John Ketcham, chassé du Massachussetts au 17 ème siècle, vint y trouver refuge pour rendre un culte au Diable. Or, un corps a été exhumé au début du 20 ème siècle à l'emplacement de la propriété. Le cadavre de John Ketcham ou celui d'un chef indien ? Quel qu'il soit, la force qui se manifeste à Amityville lui serait attribuée ! Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Warren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée.

On ne saura probablement jamais ce qui s'est passé au 112 Océan Avenue. Les Cromarty, qui ont emménagé juste après les Lutz, affirment qu'aucun phénomène bizarre ne s'est produit. Ils ont même intenté un procès aux Lutz parce qu'ils étaient assaillis de curieux réclamant des visites guidées. Ils sont parvenus à un règlement à l'amiable... Son montant n'a pas été dévoilé.

Voici une photo qui a été prise par un ami de la famille dans la maison des Lutz après le massacre des Defeo il certifie que la maison été vide vous ne trouvez pas que c'est bizarre.
Amityville - La maison du diable

Amityville - La maison du diable
Amityville - La maison du diable


Il est impossible de savoir si la déclaration des Warren au sujet de cette image est vraie, cependant, la ressemblance entre les photos des enfants Defeo est suprenante... et un peu morbide.

Supercherie ?

Peut-être bien, mais véridique ou pas, l'histoire de la maison d'Amityville n'a pas finie d'intéressée les amateurs de paranormal.

amytiville la maison du diableposté le 01/12/2007 à 10:23

posté par : Désinscrit (invité)
voici lun des fantome de la maison

Scandaleposté le 01/12/2007 à 11:01

posté par : Désinscrit (invité)
LA DISPARITION DES NIVEAU 7

EUH??posté le 01/12/2007 à 11:03

posté par : avatarhantaro (18)
quoi la disparition des niveau 7? moi ji croi pas a tout c'est truc de fantomes

alorsposté le 01/12/2007 à 11:28

posté par : avatargymi (6)
les s'images ce sont des fantomes sa faits même pas flipé

re : fantomeposté le 01/12/2007 à 12:18

posté par : Désinscrit (invité)

re : fantomeposté le 01/12/2007 à 15:30

posté par : avatarLae (6)

une autre! une autre!

re : fantomeposté le 01/12/2007 à 17:41

posté par : avatarFl0wer23 (8)
j'ai jamais cru au fantome !!!
pour mmoi tout sa c'est inventé !!

re : fantomeposté le 02/12/2007 à 11:40

posté par : avatarjoa2 (16)
L'exemple le plus célèbre est probablement celui étudié par Hans Bender (professeur à Fribourg, en Allemagne), connu sous le nom du "poltergeist de Rosenheim". En voici le récit, tiré de Broughton , p. 287.

"Par un matin froid de novembre 1967, la plupart des employés de l'avocat Sigmund Adam se trouvaient déjà au travail dans son étude de la ville bavaroise de Rosenheim. Une des dernières personnes à arriver fut Anne-Marie Schneider, une secrétaire de dix-huit ans récemment embauchée. Elle entra dans le hall et ôta son manteau. Alors qu'elle passait sous une lampe suspendue, celle-ci se mit à se balancer, mais la jeune fille ne remarqua rien du phénomène. Elle se dirigea vers le vestiaire, et le mouvement de la lampe s'amplifia. Soudain l'ampoule du vestiaire se mit elle aussi à se balancer. Un employé qui l'avait surveillée à son entrée lui lança : " Achtung ! Die Lampe ! " Anne-Marie se courba et releva son manteau pour se protéger. Un instant plus tard, l'ampoule située dans le hall explosa, projetant une pluie d'éclats de verre dans la direction d'Anne-Marie. Le balancement du fil cessa, et avec quelques mots de remerciements à l'employé qui l'avait mise en garde, Anne-Marie prit un balai pour ramasser le verre. Les autres membres du bureau se replongèrent dans leur travail. Ils étaient habitués maintenant.

Néanmoins l'avocat était à bout de nerfs. Son bureau subissait une autodestruction rapide et ses affaires ralentissaient considérablement. Les tubes fluorescents fixés au plafond tombaient sans cesse en panne. Une fois, il se produisit une forte détonation et tout l'éclairage s'éteignit tout d'un coup. Lorsque l'électricien, grimpé sur son échelle, examina les tubes au néon, il s'aperçut que ceux-ci avaient tourné de 90 degrés dans leur logement, interrompant la connexion électrique. À peine les avait-il tous remis en état de marche qu'un autre bruit violent se fit entendre et que les lumières s'éteignirent toutes à nouveau. Même lorsqu'elles n'étaient pas allumées, les ampoules à incandescence explosaient sans que le filament soit endommagé. Les plombs sautaient sans raison apparente, et parfois s'éjectaient tout seuls de leur logement. Les dysfonctionnements du téléphone étaient particulièrement graves. Les quatre combinés sonnaient en même temps sans qu'il y eût personne à l'autre bout du fil. Les conversations téléphoniques étaient souvent interrompues pendant de courtes périodes, ou coupées carrément. Les factures de téléphone atteignirent des montants aberrants, et nombre de numéros jamais appelés étaient facturés. Le liquide de développement, dans les machines à photocopier, jaillissait fréquemment de son réservoir sans que l'engin fût touché.

Tout d'abord, Adam et ses employés soupçonnèrent une déficience du système électrique. Des ingénieurs de la centrale électrique municipale et du bureau de poste (qui s'occupait du système téléphonique) furent appelés, et un équipement de contrôle installé sur les lignes électriques afin de détecter tout changement d'intensité du débit. Ces appareillages enregistrèrent de très importantes fluctuations du débit, qui coïncidaient souvent avec les phénomènes observés. On déconnecta l'étude de l'alimentation électrique municipale et l'on apporta une batterie de secours devant fournir un courant " sans perturbation ". Les écarts d'intensité de courant et les phénomènes continuèrent.

Des appareils d'enregistrement furent également branchés sur les téléphones pour garder trace de tout appel émanant des bureaux. Presque dès leur mise en fonction, ils enregistrèrent des appels envoyés des bureaux alors que personne n'utilisait le téléphone. Les enregistrements révélèrent un nombre considérable d'appels à l'horloge parlante (qui en Allemagne n'est pas un service gratuit), souvent six par minute. Le 20 octobre, quarante-six appels à l'horloge parlante en quinze minutes furent enregistrés. [...]

Le professeur Hans Bender de l'université de Fribourg, enquêteur chevronné en matière de poltergeists, arriva en compagnie de quelques collègues le premier décembre. Une semaine plus tard, ils furent rejoints par deux physiciens de l'Institut Max-Planck spécialistes de la physique des plasmas, F. Karger et G. Zicha, qui commencèrent à chercher des anomalies dans l'installation électrique et téléphonique. L'équipe de Bender remarqua rapidement que les phénomènes inexpliqués et les perturbations de puissance ne se produisaient que durant les heures de travail. Il devint également très vite évident que tous ces phénomènes avaient pour centre la personne d'Anne-Marie. Souvent, la première anomalie enregistrée par le matériel de surveillance se produisait au moment où Anne-Marie franchissait le seuil des bureaux le matin. Bender supposa qu'il s'agissait d'un cas de RSPK dont la jeune fille était l'agent.

Dès leur arrivée, Karger et Zicha entreprirent d'examiner les sources d'alimentation. Le 8 décembre, ils adjoignirent des équipements supplémentaires à ceux déjà en place. Entre 16 h 30 et 17 h 48 ce jour-là, l'appareillage enregistra quinze variations brusques du débit à intervalles irréguliers. À peu près au même moment, des craquements très forts se firent entendre, similaires à ceux qu'auraient produits des étincelles géantes, cependant chaque variation électrique ne s'accompagnait pas systématiquement de ces manifestations sonores. Tous les bruits furent enregistrés sur un magnétophone. On ajouta encore des appareils pour mesurer le potentiel électrique et le champ magnétique près des enregistreurs, ainsi que l'amplitude sonore dans les bureaux. Sur la base de leurs recherches, les physiciens jugèrent qu'ils pouvaient éliminer comme causes plausibles les variations dans l'alimentation électrique, les voltages démodulés à haute fréquence, les charges électrostatiques, les champs magnétiques statiques externes, les effets ultrasoniques ou infrasoniques (y compris les vibrations), les branchements défectueux ou des défauts de fonctionnement des appareils enregistreurs et, finalement, une intervention manuelle.

Lorsque Bender eut exposé sa conviction que les perturbations étaient dues à la PK, l'activité de poltergeist s'intensifia. L'équipe de Bender ainsi que les ingénieurs de la compagnie d'électricité et les officiers de police virent des assiettes décoratives sauter des murs et des tableaux se balancer et même tourner autour de leur crochet d'attache. Bender captura sur bande vidéo les lampes qui oscillaient et les bruits de détonation, mais il ne put enregistrer les mouvements des tableaux. Un autre enquêteur, utilisant leur équipement, put enregistrer un tableau effectuant une rotation de 320 degrés sur son axe. L'équipe de Fribourg observa des tiroirs s'ouvrant d'eux-mêmes et des documents qui se déplaçaient seuls. Certains tiroirs s'éjectèrent complètement des meubles. Par deux fois, un classeur de quelque 150 kilos s'écarta du mur d'une trentaine de centimètres. Tandis que se produisaient ces phénomènes, les enquêteurs notèrent qu'Anne-Marie était de plus en plus nerveuse. Finalement elle manifesta des contractions hystériques des bras et des jambes. Lorsqu'elle partit pour prendre une période de repos, les phénomènes cessèrent aussitôt. Peu après elle trouva un emploi ailleurs, et l'avocat ne connut plus aucune difficulté. Dans les bureaux où travaillait désormais Anne-Marie quelques perturbations se produisirent, mais moins spectaculaires et qui cessèrent avec le temps.

[...] Sur plus de trente-cinq cas qu'il avait étudiés, le professeur Bender a toujours affirmé que celui de Rosenheim était le plus impressionnant


a vous de voir

t un geniposté le 02/12/2007 à 12:03

posté par : Désinscrit (invité)
c trop cool jai deja entendu cette histoire

re : fantomeposté le 02/12/2007 à 17:09

posté par : avatarLae (6)
jen ai une je vous la racnterai kan j'aurais le temps

re : fantomeposté le 02/12/2007 à 18:36

posté par : avatarjoa2 (16)
voici une autre histoire


Pour plusieurs amateurs d'ésotérisme et de phénomènes paranormaux, La Barbade est le lieu « où les cercueils dansent ». Cette histoire des plus insolites prend ses racines sur la côte sud de l'île, là où se trouve le cimetière Christ Church. Ce cimetière contient le mystérieux tombeau de la famille Chase. Si, depuis près de 200 ans aucun humain n'y a été enterré, c'est pour une bien étrange raison. Entre 1811 et 1820, des phénomènes inexplicables ont laissé la population de cette île stupéfaite. Cette histoire provient d'une crypte très mystérieuse qui a marqué de façon définitive le folklore de La Barbade à tout jamais.

Cette fameuse crypte mesure un peu plus de 12 pieds sur 6 (3,60 m x 1,80 m environ). La seule et unique entrée de la crypte était une énorme pierre de marbre bleu qui pesait environ 450 kg. Une fois fermée, la tombe était pratiquement impénétrable.



L'histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu'une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée. L'année suivante cependant, ils cédèrent le tombeau à une autre famille de planteurs, la famille Chase. Cette année là, la jeune Mary Ann Chase, âgée de deux ans, était morte d'une des maladies infantiles si fréquentes à l'époque. Pendant les quatre années suivantes, le tombeau resta scellé. C'est le 6 juillet 1812 que la crypte fût ouverte de nouveau pour y placer le cercueil de la petite Dorcas Chase, la soeur aînée de Mary Ann. La population murmurait que la jeune enfant s'était laissée mourir de faim pour échapper à la tyrannie de son père, l'honorable Thomas Chase qui, semble t-il, ne méritait pas du tout son titre honorifique. À peine un mois plus tard, ce dernier suivait sa fille dans la tombe.

Le jour de son enterrement, après avoir enlevé l'énorme dalle qui protégeait l'entrée du tombeau, les esclaves qui faisaient office de fossoyeurs descendirent dans la crypte pour y placer le cercueil de Thomas Chase. Cependant, ils ressortirent en toute hâte. Ils refusèrent obstinément de redescendre à l'intérieur, ce qui troubla la cérémonie. Le pasteur de Christ Church, le révérend Thomas Orderson, entra dans la chambre funéraire pour voir ce qui avait bien pu terroriser les esclaves pour que ces derniers préfèrent être punis plutôt que de redescendre faire leur devoir. Le révérend fut lui aussi saisi d'une peur panique. Les deux imposants cercueils de plomb des fillettes Chase avaient été déplacés. Ils avaient été mis debout, la tête en bas. Celui de Mrs. Goddard avait été posé sur le coté contre une des parois. On crut à une violation de sépulture de la part des esclaves qui étaient agités depuis quelques temps. On remit donc les cercueils à leur place et plaça celui de Thomas Chase, un cercueil de plomb énorme qui demandait 8 hommes pour le déplacer, dans la crypte. Ils replacèrent par la suite le lourd bloc de marbre qui scellait la tombe.

Quatre années passèrent avant qu'un nouveau décès, celui du jeune Samuel Brewster Ames, permit d'ouvrir la mystérieuse tombe de nouveau. C'était le 25 septembre 1816. Cette fois encore, on souleva l'énorme dalle de marbre pour ouvrir l'entrée et le révérend fût le premier à y descendre. Une fois encore, quelqu'un ou quelque chose avait changé les cercueils de place. Cependant, personne n'avait tenté d'ouvrir les cercueils: le vol n'était donc pas la cause de la violation de sépulture. Le très lourd cercueil de Thomas Chase était dans le coin de la sépulture opposé à celui où il avait été placé quatre années auparavant. Les autres avaient aussi été déplacés. C'était le désordre le plus total. Après que les esclaves aient tout replacé, le pasteur et le secrétaire du gouverneur de l'île, le major Finch, examinèrent le caveau et n'y remarquèrent rien d'insolite. Le mystère restait entier. Le corps du jeune Ames fut donc placé auprès des autres et ils refermèrent le tombeau une fois de plus, le scellant de nouveau avec la lourde pierre de marbre. Ils démontèrent ensuite le chevalet qui servait à déplacer la dalle et, à titre d'expérience, huit hommes de solides constitution tentèrent en vain de déplacer la dalle. Elle ne bougea d'un poil. La famille rentra donc à la maison...

Huit semaines plus tard, l'occasion se présenta à nouveau d'ouvrir le tombeau. Le père de Samuel, avait été tué par des esclaves durant une révolte. Le grand chevalet fut donc mis en place et, après d'énormes efforts d'une douzaine d'esclaves, l'entrée fût de nouveau ouverte. Les phénomènes étranges qui s'étaient produit avaient beaucoup fait parler, donc il ne fallait pas se surprendre qu'un nombre important de curieux s'étaient rassemblés pour voir si l'événement insolite s'était répété. Ils ne furent pas déçus. Le révérend descendit en premier, accompagné du gouverneur de l'île et d'un magistrat. Avant même que leurs yeux se soient habitués à la noirceur de la crypte, ils avaient déjà l'impression que quelque chose d'inusité s'était produit. Effectivement, 4 des 5 cercueils avaient été déplacés. Seul celui de Mrs. Goddard, un léger cercueil de bois en piètre état, n'avait pas changé de place. Les autres, qui étaient tous en plomb (par le fait même très lourds) étaient dans le plus grand des désordres.

Le lendemain, les cercueils furent tous sortis de la crypte et des experts de l'époque inspectaient minutieusement la tombe. Ils vérifièrent et revérifièrent chaque centimètres de la sépulture en espérant trouver une trace d'infraction ou une entrée. Mais ils constatèrent qu'il n'existait vraiment aucun moyen d'accès autre que la porte principale. Pour accéder au caveau, il aurait donc fallu ériger un chevalet, tentative qui ne serait pas passée inaperçue. Il n'y avait aucune infiltration d'eau et il n'y avait eu aucune secousse sismique depuis la dernière ouverture du tombeau. Bref, ils ne découvrirent rien qui pouvait laisser croire que quelqu'un avait pénétré clandestinement la tombe. Ils replacèrent donc les cercueils à leurs emplacements originaux et cette fois, en plus de replacer l'imposante dalle, ils firent sceller cette dernière avec du ciment.

L'histoire devint de plus en plus populaire. Elle fit non seulement le tour de la Barbade, mais elle se répandit dans toute les Antilles, et même jusqu'en Floride et aux Bahamas. Des curieux affluèrent à la Barbade pour voir l'énigmatique caveau des Chase. Des bateaux faisaient même des détours pour que leurs passagers puissent visiter le fameux cimetière. Les habitants de l'île, eux, attendaient le prochain enterrement avec impatience.

Le 7 juillet 1819, c'était le tour de Thomasina Clarke, une amie de la famille, à y être la nouvelle occupante. Des représentants officiels du gouvernement examinèrent avec soin le ciment qui avait servi à sceller la dalle. Tout était en ordre. Cependant, les esclaves furent incapables d'enlever la dalle à leur premier essai. Des vérifications furent faite pour s'assurer que tout le ciment avait été correctement enlevé, mais ils durent enfoncer des coins de bois à coup de marteau pour bouger la dalle qui refusait de coopérer. Finalement, les esclaves réussirent à la soulever. Les témoins comprirent rapidement pourquoi la dalle était si difficile à déplacer; le cercueil de Thomas Chase avait été coincé contre cette dernière. Encore cette fois, les cercueils étaient sens dessus dessous. Une fois encore, ils furent sortis de la sépulture, laquelle fut encore totalement inspectée. Encore cette fois, aucune trace d'infraction nulle part, aucun indice... absolument rien qui pouvait expliquer les phénomènes insolites entourant la tombe. Tout fut remis à sa place et la tombe fut de nouveau scellée. Cette fois par contre, on scella le tombeau avec toutes les précautions scientifiques possible. Du sable blanc très fin fut placé sur la surface de la crypte et des sceaux de certains officiels furent imprimés dans le ciment qui scellait la tombe. Il était donc impossible d'ouvrir ce dernier sans endommager les marques. On prit note de chaque détail; de la position exacte des cercueils jusqu'à l'épaisseur du sable. On chargea même un membre de la police de venir vérifier l'état de la sépulture et de la dalle à chaque jour. Inutile de dire que la popularité du caveau des Chases augmenta considérablement après cet incident. De partout, des gens venaient pour voir cet insolite cimetière. C'était devenu l'objet de toutes les conversations et tout le monde était curieux de savoir quand le caveau serait ouvert la prochaine fois... et dans quel état il serait.

Les mois passèrent et finalement, les autorités de la Barbade succombèrent à la tentation après que des témoins aient rapporté des bruits insolites provenant de la sépulture. C'est le 20 avril 1820 que le gouverneur de la Barbade, Mr. Combermere et plusieurs membres de son entourage ainsi que des différents professionnels inspectèrent religieusement le caveau avant de l'ouvrir. Aucune marque étrange ou irrégulière n'était visible. Cette fois cependant, ce sont les cercueils des enfants qui bloquaient le passage. Les officiels durent passer par-dessus pour inspecter le reste de la sépulture. Les lourds cercueils de plomb semblaient avoir été projetés dans tous les sens. Seul celui de Mrs. Goddard n'avait pas bougé. Le sable blanc était parfaitement intact. Le tombeau fut de nouveau totalement inspecté. Cette fois, on enfonça même des barres de fer dans la couche rocheuse afin d'y déceler d'éventuels tunnels...

Absolument rien, encore une fois. Fatigué de toute cette histoire, le gouverneur fit enlever les cercueils du caveau Chase et les fit inhumer ailleurs. Ce dernier a été laissé ouvert et n'a jamais plus servi à aucune inhumation depuis lors.

De nombreuses théories ont été avancées sur le sujet, mais le mystère reste entier. Semble t-il qu'il ait été impossible que ces très lourds cercueils de plomb aient été déplacés de façon naturelle. Sir Arthur Conan Doyle, le créateur du personnage de Sherlock Holmes, émit une hypothèse selon laquelle des forces surnaturelles déplaçaient les cercueils parce qu'ils étaient fait de plomb; ce métal empêchait la décomposition rapide des corps. Peut-être aussi que l'esprit de la jeune fille qui s'était suicidée ne voulait pas reposer éternellement à coté de son cruel père qui l'avait tant fait souffrir... Qui sait ? Une chose est sûre cependant, ils n'ont pas reposé en paix…



a vous de voir moi j'ai mon idee

re : fantomeposté le 05/12/2007 à 11:55

posté par : avataralexced (3)
qui sa peut etre

re : fantomeposté le 05/12/2007 à 13:13

posté par : avatarjoa2 (16)
reflechit

lolposté le 05/12/2007 à 14:14

posté par : Désinscrit (invité)
moi je sais

re : fantomeposté le 06/12/2007 à 17:35

posté par : avatarjoa2 (16)
quoi



( si tu veut pas me le dire envoie le par MP) ok erwan?

re : fantomeposté le 06/12/2007 à 22:07

posté par : avatardarkvador33 (15)
certains rigolent, d'autres crient au cannulars!
un fait est cependant certain , la parapsychologie existe et si elle n'esxplique pas ces faits ,elle les porte a la connaissance de tous.
pour aborder  cela il faut deja avoir l'esprit ouvert et surtout ne pas avoir peur de ce que l'on pourrais decouvrir.
si en plus vous etes plus ou moins medium ,vous ressentirez ces phenomenes a different degres de sensibilité!
les "fantomes" existent n'en doutez pas, mais ce ne sont en realité que des ames tourmentées qui cherche le passage pour ce que l'ont appelle l'au dela!
il peuvent prendre n'importe quelle forme, etre visible ou invisible, faire le bien ou le mal, mais dans tous les cas plus votre peur augmentera plus vous serez receptif a leurs onde et moins vous pourrezlutter et vous defendre!
le cas le plus connue est celui de la "dame blanche" celle qui protege les conducteurs a l'approche d'un lieu accidentogene mortel.
je le connais bien et en connais tous les effets pour l'avoir personnellement vecu il y a maintenant plusieures années!
elle a disparue le jour ou la route a ete modifiée et que son tracé ne presentait plus de danger!
quand au fantome , c'est celui de mon pere au pied de mon lit quelques jours apres son deces que j'ai frequenté!
il etait venu me dire qu'il serait toujour a mes cotés et qu'il ne servait a rien de  me rendre maladecar seule son enveloppe charnelle etais partie!
j'aieu d'autres experiences  parapsychologiques  mais celles-ci me resterons personnelle!
c'est ausii pour ça qu'aujourd'hui je ne ris pas de ces histoires , mais je m'interoge seulement de savoir pourquoi ces ames ne sont pas parties!

re : fantomeposté le 07/12/2007 à 07:42

posté par : Désinscrit (invité)
merci je savais pour lau dela mais vous penssser que je suis stupide mais moi j'y crois

trop coolposté le 07/12/2007 à 07:43

posté par : Désinscrit (invité)
trop cool le fantome de ton pere ta eu peur?

re : fantomeposté le 07/12/2007 à 13:04

posté par : avatardarkvador33 (15)
erwancmoi, ça n'est pas trop cool et non je n'ai pas eu peur!

re : fantomeposté le 07/12/2007 à 15:58

posté par : avatarLae (6)
moi, quand j'ai invitée une amie, elle m'a dit que sa mère avait vu la dame blanche quand elle etait seule dans la voiture. Elle était assise sur le siège arrière, un couteau à la main en lui disant de ne pas avoir un accident

re : fantomeposté le 07/12/2007 à 16:08

posté par : avatarLae (6)
voici mon histoire :

lolposté le 07/12/2007 à 16:44

posté par : Désinscrit (invité)
genre ta pa u peur

espagneposté le 29/05/2008 à 14:57

posté par : avatarespagne (17)
Brrrrrrrr.. la première photo du topic ..... . Ca fait un peu peur pour certains ..

re : fantomeposté le 29/05/2008 à 15:02

posté par : avatarAnbastom (17)
:S comment deterrer un topic en 3 lecons...

re : fantomeposté le 29/05/2008 à 15:21

posté par : avatargrmarfAdministrateurAdministrateur (15)
Je n'avais pas vu celui ci ...

Espagne : tu nous a exhume 3 topics en 2 jours ... quel sera le prochain ?

Topic verrouille pour le moment.

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